Le mois d'avril poursuit ses ravages au Maroc

L’inévitable échéance de la prorogation du mandat de la MINURSO et la question des droits de l’homme au Sahara Occidental a semé la zizanie au Maroc. Les gouvernants marocains tremblent devant la possibilité d’élargir les prérogatives de la MINURSO aux droits de l’homme.
Après avoir annoncé l’annulation du jugement des civils par les tribunaux militaires, la promesse d’une réponse rapide aux 50.000 plaintes présentées au CNDH marocain, les voilà en train de répandre dans les médias proches des monarchies pourries du Golfe que le représentant du Polisario aux Nationes Unies, Ahmed Boukhari, a rejeté une proposition présentée par la France au Conseil de Sécurité.
Ni la France ni les Etats-Unis n’ont présenté au Conseil de Sécurité une quelconque résolution sur le Sahara Occidental. « Même le rapport du Secrétaire Général de l’ONU n’a pas encore été publié », a signalé Boukhari.
Donc, ces informations font partie des tribulations marocaines provoquées par la panique causée par le mois d’avril devenu, depuis un an, un mois cauchemardesque pour les dirigeants du Maroc.

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