Durant l’ingérence flagrante de la France au Mali en Janvier 2013, l’Elysée répliquaa qu’il est en droit de défendre un pays aussi pauvre que le Mali attaqué par des organisations armées hostiles.
Le Canada lui répondit cartographie satellitaire à l’appui que les nombreuses montagnes gorgées d’or et divers métaux du sous-sol malien font que Paris ne permettra ni aux maliens, ni à personne d’y toucher les dividendes.
En ce qui concerne notre pays, le Tchad, pour voir de visu un aperçu de son sous-sol, il fallait s’y rendre au palais royal de Rabat où il y a une carte dessinée à la main où l’on peut clairement voir les différents minérais que recèlerait notre vaste territoire.
Il est aussi possible d’obtenir d’autres éclairages sur les potentialités immenses du sous-sol tchadien à la Bibliothèque du Congrès, Washington, et celle allemande de Francfort.
Par ailleurs, depuis le règne du Pape Charles de Gaulle, Paris n’a raté aucune occasion de préciser par les actes à tout incréule que :
– La prospérité des futures générations françaises, se devaient d’être garanties par les matières premières des sols françafricains.
Ni plus ni moins. C’est pourquoi, toute résistance perçue ou avérée contraire à cette logique colonialo-esclavagiste, doit être anéantie par un moyen ou par un autre.
L’agression armée de la France contre les forces de l’U:F:R, et d’autres dans le passé ou à venir principalement en Françafrique, s’inscrit dans ce principe de force.
Les rêveurs en plein jour et les aventuriers de la dernière heure ; qui souhaiteraient de prendre, même de manière pacifique le siège du dictateur-décadent Idriss Déby, sans la bénédiction tacite de la loge-mère, finiront comme l’U.F.R….
Ali Muhammad Diallo
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