Selon Bernard Henry Lévy, les « clowns Luigi Di Maio et Matteo Salvini » ont « foulé aux pieds « 2000 ans d’amitié franco-italienne » ainsi que « la culture gallo-romaine, Grégoire de Tours, Petrarque, François 1er, Solférino, Stendhal, Moravia » . Pour lui, « la France répond justement » en appelant pour consultation son ambassadeur en Italie.
Ainsi donc, l’oiseau de mauvaise augure BHL tombe dans un complotisme qui a tout l’air d’une danse de ventre pour amuser ceux qui lui ont permis de vivre dans l’extrême abondance et la voluptuosité.
Lui, le symbole de l’imposture intellectuelle, artifice des désastres syrien et libyen, expert en amphétamines et proximité avec l’extrême-droitre israélienne montre aux français, une fois de plus, son vrai visage de défenseur, à l’instar de son maître de l’Elysée, des riches et des corrompus.
BHL semble avoir oublié que c’est Macron qui a ouvert en premier les hostilités. Les italiens ne font que se defendre face à la grossièreté et l’arrogance du gamin qui gère la France à l’aide de son épouse et ancienne maîtresse. C’est lui qui ne cesse d’insulter et de donner des leçons de moral aux autres.
Macron peut dire que les italiens sont à vomir, que ce sont des lépreux, qu’ils méritent d’avoir des invasions de migrants et l’offensé c’est lui ? Il paraît que le philosophe de pacotille qui a voulu se faire passer pour prophète est troublé par la main qui le nourrit et a oublié que là où il passe ne laisse que cadavres et destruction.
Au lieu de s’attaquer au racine du mal, répondre par la voie démocratique et privilégier le dialogue, BHL jette de l’essence sur le feu en croyant que les leaders italiens que Macron a qualifié de « lépreux » ne vont pas répondre.
Qui se frotte aux cactus risque d’en rattraper les épines. C’est ce qui est arrivé au président français. S’il pense que les dirigeants sont des ratés, ils n’ont pas hésité à lui rappeler que son pays, la France, la prétendue patrie des droits de l’homme, ne s’en sort que grâce à l’argent volé à ses anciennes colonies africaines moyennant l’impression et la gestion de leur monnaie, le Franc CFA.
Les leaders italiens n’ont pas tort. Les africains sont tentés par l’emigration parce que la France leur impose la misère et la précarité chez eux. Parce qu’ils ne sont pas maîtres de leurs ressources naturelles monopolisées par les sociétés françaises et quiconque osera s’opposer connaîtra le sort de Patrice Lumumba, Thomas Sankara, Laurent Gbagbo…
L’Afrique a besoin de nouvelles générations européennes de la taille de Luigi Di Maio qui n’hésite pas à lancer la vérité sur la figure des prédateurs français. Une génération qui s’attaque à la racine de la problématique de l’émigration : le pillage de l’Afrique.
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