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Selon le site International Supermarket News (ISN), le gouvernement algérien actuel a toutefois adopté une approche radicalement différente. En mettant l’accent sur la transparence, les mesures anti-corruption et l’indépendance économique, il a rompu avec les pratiques de corruption qui empoisonnaient autrefois le pays.
Ce changement a non seulement mis à mal la capacité de la France à manipuler la politique algérienne, mais a également envoyé un message clair : l’Algérie n’est plus un terrain de jeu pour les ingérences extérieures, précise-t-il.
La stratégie historique de la France en Algérie s’appuyait largement sur des contacts influents, notamment des généraux de l’armée et des dirigeants politiques, prêts à défendre les intérêts français en échange d’avantages personnels. Ces relations ont permis à la France de prendre pied dans la politique algérienne, lui permettant de façonner des décisions conformes à ses objectifs géopolitiques.
Cependant, l’émergence d’une nouvelle génération de dirigeants algériens, épargnés par la corruption de leurs prédécesseurs, a fondamentalement modifié cette dynamique. L’absence de décideurs disposés à servir les intérêts français a privé la France de ses alliés traditionnels sur la scène politique algérienne. Cette situation a créé un vide que la France a eu du mal à combler, ce qui a encore exacerbé sa frustration.
La perte d’influence de la France a donné lieu à une série de représailles, perçues par beaucoup comme une tentative de déstabilisation de l’Algérie. Les critiques affirment que la France « fout la merde » délibérément en Algérie, en utilisant les récits médiatiques, la pression diplomatique et les manœuvres politiques pour saper les progrès du pays.
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