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L’Agence de presse algérienne (APS) a publié un commentaire sur les propos tenus par Mohammed VI sur le Sahara occidental, hier, lors de l’ouverture de la session du parlement marocain.
Résumé du commentaire :
-Mohammed VI a abordé le sujet du Sahara occidental lors de l’ouverture de la session parlementaire, oubliant les problèmes du peuple marocain opprimé
-Les décisions de la Cour européenne de justice ont poussé le roi du Maroc à consacrer tout son discours au sujet du Sahara occidental car il s’agit d’un événement historique qui aura des avant et des après….
-Les décisions de la Cour de justice européenne ont mis fin au caprice marocain et à l’euphorie du régime du Makhzen après l’illusion du bouclage du dossier du Sahara occidental
-Ce qui se passera après les décisions de la CJUE, c’est lorsque les Marocains ouvriront les yeux sur la réalité et réaliseront que le Maroc n’est pas dans son Sahara et que le Sahara n’est pas au Maroc
-Les décisions de la Cour européenne de justice ont reconnu le Front Polisario comme demandeur d’asile
-La Cour internationale de justice a déjà reconnu les mêmes faits sur le Sahara occidental il y a 50 ans, ce qui signifie que rien n’a changé
-Le résumé des décisions de la Cour internationale de justice et de la Cour européenne est que le Sahara occidental est occupé, que le Maroc n’a aucune souveraineté sur ce territoire et que le peuple sahraoui est complètement différent du peuple marocain
-Mohammed VI n’a trouvé d’autre consolation après le revers du Makhzen devant la Cour européenne que de s’en tenir à la lettre de Macron, qui a reconnu la prétendue souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental
-Dans un passé récent, l’ancien président américain Trump a reconnu la même souveraineté présumée, mais il a été rapidement rétracté par l’administration américaine suivante
-Après les décisions de la Cour de justice de l’Union européenne, le régime du Makhzen a commencé à voyager dans tous les pays européens pour quémander un soutien dans cette affaire
-L’Algérie a demandé aux ambassadeurs des pays européens des explications sur les déclarations publiées par leurs pays commentant la décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE)
-La plupart des ambassadeurs concernés ont souligné que leurs pays sont des pays de droit et qu’ils respecteront les décisions de la Cour de justice européenne
-Certains ambassadeurs ont été surpris par le contenu de la déclaration publiée par la Commission européenne, qui privilégie le « pacta sunt servanda » par rapport aux arrêts prononcés par la plus haute instance judiciaire européenne.
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