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L’installation officielle de l’Algérie au Conseil de sécurité des Nations unies en tant que membre non permanent pour une période de deux ans a officiellement commencé.
Du 1er janvier 2024 au 31 décembre 2025, nous aurons deux ans « pour porter haut la voix du continent africain au sein de cet organe central de l’ONU », rapporte l’agence de presse officielle algérienne APS.
De plus, « l’Algérie renouvellera à New York son engagement envers la paix, en accordant la priorité au dialogue, à la résolution pacifique des crises et au principe de non-ingérence dans les affaires internes des États, dans le but de poursuivre son approche en faveur du maintien de la paix internationale et de la sécurité, soutenant la coopération internationale et renforçant le rôle de l’ONU, l’incitant à assumer ses responsabilités envers les deux peuples, palestinien et sahraoui », ajoute-t-on.
Parmi les priorités de l’Algérie dans ce contexte, on trouve « la promotion de solutions pacifiques aux crises, le renforcement des partenariats, le soutien au rôle des organisations régionales et l’amélioration de l’efficacité de la lutte internationale contre le terrorisme », rapporte encore l’agence d’État.
On se souvient que le 6 juin dernier, 184 pays sur 193 ont voté « oui » pour élire l’Algérie en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité pour la période 2024-2025, aux côtés de la Sierra Leone, de la Corée du Sud, du Guyana et de la Slovénie. Cette prise de fonction est la quatrième du genre pour le pays nord-africain, après les mandats suivants : 1968-1969, 1988-1989 et 2004-2005.
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