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Deux imams, un d’Algérie et un de Turquie, ont été arrêtés par la police saoudienne pour avoir prié pour la Palestine dans les saintes mosquées.
Selon les informations, l’imam algérien a été arrêté à la mosquée du Prophète à Médine après avoir prié pour la population de Gaza en Palestine.
L’imam a ensuite été relâché au bout de six heures, seulement après qu’un tribunal local ait ordonné la confiscation de son téléphone portable.
Mustafa Efe, un imam vénéré reconnu pour ses vidéos réconfortantes de chats dans le quartier d’Üsküdar à Istanbul, s’est retrouvé arrêté à La Mecque en raison de son choix de mots.
Formé à l’Université de Marmara et à la Faculté de théologie de l’Université d’Ankara, Efe a auparavant travaillé à la mosquée Aziz Mahmud Hüdayi d’Üsküdar.
Efe a annoncé sa détention à La Mecque à travers une vidéo concise sur les réseaux sociaux. Il a révélé que les autorités l’avaient appréhendé uniquement parce qu’il avait utilisé les mots « Gaza » et «Palestine», accompagnant cette révélation d’une image le montrant enchaîné.
Malgré l’épreuve, Efe a réussi à respecter ses obligations religieuses tout au long de sa détention. Il a marqué la conclusion de cette période en partageant une image de la vénérée Kaaba, soulignant son engagement indéfectible envers le culte.
Cet incident, survenu dans la zone vénérée de Masjid el Haram, a suscité l’attention et l’inquiétude.
L’expérience d’Efe a mis en lumière les subtilités des sensibilités politiques, même dans les contextes religieux sacrés, mettant en lumière les conséquences imprévues découlant de leur expression.
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