Les libertés d’expression, de presse, de réunion et d’association sont bafoués;
Le recours à la détention arbitraire et la violence physique et verbale des détenus lors des arrestations et de l’emprisonnement, sont monnaiees courantes.
L’imunité des policiers et autres fonctionnaires accusés de torture.
La corruption est érrigé comme méthode de gouvernance notamment au sein des forces de sécurité et du système judiciaire;
Les sahraouis revendiquant l’indépendance sont réguliérement arrêtés et détenus dans des centres provisoires où ils subissent des sévices corporelles.
Des traitement dégradants sont infligés aux sahraouis arrêtés lors de manifestations indépendantistes ou manifestations appelant à la libération des prisonniers politiques sahraouis.
Les activistes sahraouis des droits de l’Homme, à l’image de Aminatou Haidar, subissent au quotidien les maltraitances des services de sécurité du Maroc;
La justice refuse d’enquêter sur des cas de torture rapportés par les ONG internationales;
Les détenus politiques sahraouis dont le nombre avoisine 200, subissent des conditions de détention trés rude, avec des droits de visite familiales limitées et un accès limité aux soins de santé, d’alimentation et des vêtements propres.
Les activistes saharouis des droits de l’Homme sont interdits de rencontrer les journalistes étrangers;
Le Maroc continue d’entretenir le mystére concernant les 700 disparus sahraouis;
Les auteurs d’assassinats politiques (cas des nommés Meichan Ould Mohamed Lamine Ould Habib et Saaid dembar), continuent de jouir de l’impunité.
Il est évident que l’absence d’un mécanisme de contrôle des droits de l’Homme, sous tutelle onusienne, engagera le Maroc à poursuivre sa politique de répression au Sahara Occidental pour étouffer les moindres revendications indépendantistes.
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