Maroc : Mohammed VI, entre Lamjarred, Benalla et M’jid El Guerrab

« Nos amis les marocains » continuent la politique de « Notre ami le roi » : Rendre service aux amis des amis, dans l’esopir de retours inavouables de l’ascenseur… Entre la défense de Lamjarred en France et la promotion de Benalla au Maroc, le Maroc ne sent pas bon…

Le second Tome de Gilles Perrault est en route..

Au Maroc, il ne sera pas dépaysé !

Ce qui est intéressant avec ce jeune homme, c’est que chacune de ses entreprises commence par tous les signes précurseurs de l’échec ! Et du grotesque bien sûr, qui couvre évidemment ceux qui lui ouvrent les portes.

L ‘absurde du politique devient
la configuration maximaliste de
l ‘establishement financier ,lā où
l’ oligarchie finaciėre existe,
des hommes émergent pour oeuvrer au profit du système.
Les valeurs ,l’ intégrité,
la compétence ,
n ‘ont guère d’ importance ,au Bresil,en Bolivie..ces hommes et femmes sont au service du système.
M.Benalla intégre le jeux, il est choisi et instrumentalisè pour une mission prècise que matignon veut véhiculer ,l ‘image dègradante de l’ action militante telle qu’elle conçue par l ‘establishement financier.
Ironie de l histoire ,ce même Benalla est dénoncé pour
ses actes violentes contre
les gilets jaunes , expulsè et insulté dans un bar parisien ,ce même Benalla est candidat ā Saint Denis.
et je vous laisse deviner la suite de son parcours et
les conséquences n’ ont calculé sur
I ‘establishement en place.

Décidément notre pays est devenu une décharge pour recycler tous les indésirables condamnés de mama Franssa.