Le système de magasin patauge après une série d’échecs

Après l’Espagne et l’Algérie… Signes d’une crise diplomatique avec la France

Les gifles diplomatiques continuent contre le régime du Makhzen et ses échecs diplomatiques, malgré ses tentatives infructueuses de prouver son prétendu droit au Sahara Occidental occupé, sur la base du « tweet » de Twitter, et la tentative de faire pression sur l’Espagne en permettant à ses citoyens de « le brûler ».  » à Ceuta, sous l’illusion d’une  » vengeance  » de Madrid. Pour la recevoir, le président sahraoui Ibrahim Ghali, qui a été soigné dans un de ses hôpitaux, au point de soutenir ce qu’il a appelé  » l’indépendance de la région de Kabylie  » puis espionnage de hauts fonctionnaires en Algérie et en France à l’aide du programme « Pegasus ».

Le voisin occidental est dans un état de confusion après l’intensification du « nœud coulant » international et il a reçu de nombreux revers diplomatiques, notamment de la part des pays de l’Union européenne, à commencer par la crise des migrants avec l’Espagne, pour finir par l’espionnage de hauts responsables de l’Elysée en France, dirigé par Après la question du soutien à ce qu’il a appelé « l’indépendance de la Kabylie », le journal Le Monde a souligné que de hauts responsables algériens figuraient sur la liste des personnes qui Les services secrets marocains ont utilisé le programme sioniste « Pegasus » pour espionner.

Le journal précise que, selon les informations dont il dispose, le Royaume du Maroc est l’un des plus gros utilisateurs du programme d’espionnage Pegasus au détriment des autorités algériennes, car l’un des services de sécurité marocains montre un grand intérêt pour le climat politique. en Algérie, sur fond de mouvement populaire qui a contraint l’ancien président Abdelaziz Bouteflika à quitter le pouvoir. Et « Le Monde » a indiqué que ce service de sécurité marocain a choisi plus de 6 000 numéros de téléphone appartenant à des politiques, des militaires, des chefs de services de renseignement , des hauts fonctionnaires, des diplomates étrangers ou des militants politiques comme cibles possibles du programme d’espionnage, selon les données publiées par Histoires interdites, Amnesty International et le journal Le Monde, le Maroc est un grand utilisateur du programme, et ces six mille numéros constituent un grand groupe, à la lumière de 50 000 numéros de téléphone choisis dans le monde, entre 2017 et 2019, ajoutant que le processus de surveillance ne se limitait pas au nombre de citoyens sur le sol algérien, mais visait plutôt un nombre supposé de ressortissants algériens, principalement des diplomates, en Afrique du Sud, Angola, Belgique, Burkina Faso, Canada, Côte d’Ivoire, Emirats Arabes Unis et Egypte Espagne, Éthiopie, Finlande, Indonésie, Iran, Kenya, Mauritanie, Maroc, Namibie, Niger, Nigeria, Ouganda, République tchèque, Rwanda, Sénégal, Suède, Suisse, Syrie, Tunisie, Turquie et Zimbabwe, affirmant que le programme Pegasus était très intéressé par l’ambassade d’Algérie, le numéro de téléphone de l’ambassadeur d’Algérie et de l’attaché militaire. De l’autre côté de la Méditerranée, le numéro de l’ambassadeur de France de l’époque, Xavier Drincourt, et le numéro de l’attaché militaire français ont été visés. Outre d’autres numéros appartenant prétendument à l’ambassadeur de l’Union européenne en Algérie, outre l’entourage de l’ancien président, dont ses deux frères Saïd et Nasser et sa sœur Zohour Bouteflika, l’appareil marocain a également visé les numéros de grands dirigeants de la l’armée, y compris les numéros des chefs des services de renseignement de l’époque.

D’autre part, la présidence française a déclaré que si les informations relatives aux écoutes téléphoniques du téléphone de Macron étaient correctes, ce serait très dangereux, et a ajouté que les autorités enquêteraient sur ces informations pour faire la lumière nécessaire sur les rapports. Le Monde a indiqué que selon les sources, l’un des numéros de téléphone de Macron, qu’il utilise régulièrement depuis 2017, figure dans la liste des numéros choisis par les renseignements marocains pour un éventuel espionnage électronique, en plus de viser l’ancien Premier ministre français Edouard Philippe et 14 ministres en 2019, alors que le Maroc publiait une déclaration lundi, il a nié toute implication dans l’utilisation de Pegasus, et a rejeté ce qu’il a qualifié de « fausses allégations » qui ne sont pas fondées sur « une base factuelle ».

Dans ce contexte, le président français Emmanuel Macron a ordonné une série d’enquêtes sur le cas des services de sécurité marocains espionnant ses numéros de téléphone. « Le président de la République a ordonné une série d’enquêtes », a déclaré le Premier ministre français Jean Castix lors d’une interview sur TF1. « Si ces faits sont prouvés, ils seront dangereux », a ajouté Castells. Je confirme que. » Il a souligné qu’il serait « irresponsable » de parler de toute réaction de Paris jusqu’à ce que la situation devienne claire et que les faits deviennent clairs.

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