En réponse, le responsable français a souligné que:
– les autorités prennent au sérieux cette affaire compte tenu de la relation d’exception liant les 2 pays
– il a qualifié l’événement d’extrêmement regrettable et que les autorités françaises n’avaient pas été informées.
– Le retard pris par la réponse française est dû à la complexité de la question.
-la réponse doit permettre que plus jamais cela ne se reproduise
– les réponses et garanties doivent être imperméables et hématiques à toutes attaques franco-françaises.
– la mise en place d’une commission mixte pour la renégociation des accords judiciaires ne sera pas fructueuse et une démarche lourde
– les autorités marocaines ne doivent pas demander l’impossible aux autorités françaises qui sont dans l’obligation de respecter la constitution et l’indépendance de la justice.
– les pistes de travail suivis par les français consistent au rappel des règles de droit dans le traitement de ce type d’affaires. les autorités travaillent également sur un dispositif d’immunité diplomatique.
– un responsable français pourrait se déplacer au Maroc pour présenter les solutions envisagées. une déclaration politique pourrait signifier par la suite la fin des tensions entre les 2 pays
-l’importance de ne pas surmédiatiser l’affaire pour éviter une polémique franco-française et la crispation des syndicats de la justice et de la police qui risquent de compliquer la tâche des autorités françaises.
– la baisse de l’intensité de la communication qui est intervenue la semaine dernière est appréciée.
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