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Une alliance se forme contre l’Algérie

Tags : Algérie, Maroc, France, Israël, Emmanuel Macron, Rothschild,

Les chefs de la diplomatie israélienne et marocaine ont signé des accords portant notamment sur la coopération politique, l’aviation et la culture, lors de la première visite au Maroc d’un haut responsable israélien, sept mois après la normalisation des relations entre les deux pays.
Le lecteur large d’esprit doit garder une chose à l’esprit, qu’Emmanuel Macron, avant qu’il soit désigné par la finance internationale président de la France, il était un banquier d’affaires chez les Rotchilds ? « Un élément valable et prometteur pour assurer la mission de la présidence de la république et réussir d’autres alliances », ce qui sera précieux pour les Rotchilds? Les succès de ce genre d’intrus sont extrêmement précieux pour nouer des alliances futures et pour avoir un impact immédiat sur l’économie mondiale par ceux qui se sont engagés dans le travail de banquiers.

Juste pour comprendre, comment un ordre devrait-il être désigné si une personne est à la fois un initié et un actionnaire important dans l’échiquier politique international? Sinon, à quoi peuvent bien servir les contrats et les protocoles de confidentialité et de non-divulgation dans la politique des banquiers?
En conséquence, comme agent provocateur le président français, Emmanuel Macron, fut désigné par les règles des jeux du plus fort, les politiques n’étant que leurs marionnettes, président informel de l’alliance tripartite dirigée contre l’Algérie. A première vue, il s’est posé la question se savoir comment allons-nous renverser Abdelmadjid Tebboune le président Algérien? Comment arrêterons-nous l’Algérie?


Telles étaient les questions qui tourmentaient l’esprit du président Macron . Il n’a pas daigné penser : «La France menace l’Algérie de l’étranger, en vain. Nous attaquons via le MAK, en vain. Nous redessinons les frontières des peuples de la région, en vain. Peu importe à quel point nous soutenons l’opposition berbéro-sioniste, nous ne pouvons pas arrêter l’Algérie. Qu’y a-t-il à faire et comment le faire? « Devrions-nous déclencher un conflit entre l’Algérie et le triumvirat dont je suis président? Devrions-nous conspirer intérieurement ?
Il ne fait aucun doute qu’il pensait : « Si seulement nous pouvions s’accaparer de l’Algérie en Méditerranée, si seulement nous pouvions la forcer à un jeu fatal, dont elle ne peut s’échapper, si seulement nous pouvions la faire s’affronter avec l’Israël et toute l’Europe.

Si nous pouvions mobiliser tous les agents provocateurs, groupes d’influence occidentaux- autochtones, et investir dans des complots internes, serions-nous peut-être victorieux ? »
Pourquoi Macron, n’avait-t-il pas déclaré que la construction de l’Algérie comme nation est un phénomène à regarder ? Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française? Ça, c’est la question », déclarait-il. Les algériens, la qualifiant d’acte d’agression qui, par ses caractéristiques, sa gravité et son ampleur, constitue une violation manifeste. N’était-il pas exacte qu’avec cette déclaration, Macron s’est placé du côté de ceux qui justifient la recolonisation de l’Algérie? Plutôt que de se retrancher derrière le fait que la France est accusée de crimes graves?

Il est possible d’observer cette désignation et les préparations conçues pour cet objectif dans tous les domaines : en politique intérieure, en économie, dans les opérations visant la psychologie sociale des algériens, dans les relations avec l’occident et les tensions avec la nouvelle alliance tripartite créée à l’effet d’arrêter l’Algérie, tant en raison de son importance géostratégique que pour les différents enjeux qu’elle représente.

Renversez Tebboune et arrêtez l’Algérie.
Tel sont les slogans du complot de la tripartite ?
Pour mieux comprendre cette équation, il suffit seulement de considérer la position des pays et des puissances dans le système international, les positionner correctement, interpréter les développements conformément à la carte des puissances et aux confrontations de puissance révélera même leurs pensées et leurs idées non exprimées. Surtout qu’on n’a déjà vu ça avec le conflit opposa l’Égypte et une alliance secrète actée par le protocole de Sèvres, dont les entretiens se sont tenus du 21 au 24 octobre 1956, formée par la France, le Royaume-Uni et l’État d’Israël, à la suite de la nationalisation du canal de Suez par l’Égypte le 26 juillet 1956.

Il est bien connu que l’histoire se répète toujours comme une farce ou comme une tragédie. L’agenda qu’ils poursuivent en collaboration avec certains groupes politiques parmi nous, ainsi que la mentalité de ces mêmes groupes, se révèle. Ce n’est, en aucun cas, affilié à la politique intérieure. Il ne s’agit en aucun cas d’une poursuite politique innocente. Tous les projets sont construits sur le principe fondamental de « renverser Tebboune et d’arrêter l’Algérie ».
Si au début de son mandat en Algérie en tant que président de la république, il était favorablement accueilli par la communauté internationale comme le « représentant légitime du peuple algérien» dans le monde, l’approche des médias français vis-à-vis de son personnage, a progressivement évolué dans un sens extrêmement négatif voire caricatural.

Aujourd’hui injustement décrit comme « Président imposé par l’armée», le véritable homme fort du pays n’est pas « le président Tebboune », mal élu en décembre 2019, mais « le chef d’état-major Saïd Chengriha » et derrière lui « les décideurs » militaires qui, sous une forme ou une autre, accaparent le pouvoir depuis des décennies ». Il est présenté au même titre que le président russe Poutine comme un président « populiste » qui ne respecte pas la démocratie et les droits de l’homme mais qui n’agit qu’à des fins politiques et électoralistes.

C’est ainsi à son sujet que nous assistons aux pires manipulations. Ses propos et discours sont souvent détournés pour mettre en avant un personnage haineux et radical, comme le montre clairement les médias mainstream à la solde du Quai d’Orsay et de ses alliés, au nom de prétendues violations des droits de l’homme.
Ses prises de position courageuses sur l’actualité internationale créent de la matière à exploiter : de l’affaire du Sahara occidental au statut de Jérusalem « capitale éternelle des palestiniens », la guerre civile en Lybie, des attentats terroristes dans le monde aux tragédies mondiales comme l’accueil des réfugiés subsaharien et syrien ou encore le grand jeu auquel s’adonne Paris avec ses anciennes colonies, des projets extraordinaires qu’il met en place en Algérie aux partenariats qu’il développe dans le monde, Tebboune se démarque clairement de la France.

L’Algérie se bat sur deux fronts majeurs

L’Algérie se bat sur deux fronts majeurs : les pressions étrangères, ainsi que les interventions visant à la décourager, l’effrayer et l’arrêter. Auxquelles, il faut ajouter les tentatives sournoises de certains groupes politiques de promouvoir ces soucis à l’intérieur de la forteresse en appelant à renforcer la coopération et l’intégration avec l’axe du mal dans lequel, se trouve l’alliance dirigée contre nous dans sa sale guerre de nature coloniale.
Ces deux fronts ont subi une défaite dans tous les domaines depuis la tentative d’exploiter le « Hirak béni » en 2019 à des fins géopolitiques. Ils ont été vaincus à l’est, au sud, à l’ouest, en Méditerranée et à l’étranger où il y a une forte diaspora algérienne jalouse des intérêts suprêmes du pays. Plus important encore, ils ont fait face à une défaite « intérieure » Dans l’assassinat de « Djamel Bensmain » survenu alors que la région faisait face depuis trois jours à d’immenses incendies qui ont fait 90 morts et d’énormes dégâts matériels.

Maintenant, leurs préparatifs pour la grande attaque finale sont clairs. Même s’ils seront de nouveau vaincus, l’attaque lancée sera d’une immense destruction. A contre-courant, l’Algérie se prépare en réponse à toutes ces menaces nouvellement révélées.
L’Algérie répondrait aux attaques, ainsi que le reste du monde, avec le potentiel des ondes de choc bien au-delà de nos frontières, qu’elle continuera entretemps de briser l’ordre mondial existant à travers une résistance extraordinaire. L’Algérie produira des étonnements à cet égard, pour nous éviter des surprises désagréables au vu du résultat ou y remédier si cela se produit. Elle gâcherait les plans mis à contribution dans l’élaboration des plans d’action, par une pléiade de génie algériens de talents.

L’Algérie doit continuer telle quelle, et le fera, car c’est le retour de l’héritage politique, s’étalant sur des siècles, Il s’agit de la plus grande distinction honorifique du pays depuis sa sortie des griffes de ceux qui gèrent la mort? L’influence de l’histoire et de la géographie de l’Algérie, dans les frontières les plus larges du continent ont dépassé les mensonges et les affabulations du makhzen et de son royaume. La configuration de l’Algérie dans le contexte actuel a dépassé les puissances coloniales. La plus grande surprise du 21ème siècle sera celle de l’Algérie nouvelle. Ces revendications ne peuvent être remises en causes. C’est une nation de missions émergentes, dont l’histoire est marquée par la persécution et la souffrance.

Ce « front » a été construit contre l’Algérie
Franchement, le partenariat entre l’organisation terroriste de Rachad et du MAK, qui visait à détruire le pays, n’est pas une alliance politique. Ce partenariat est un front qui a été établi par la volonté de l’axe du mal au sein duquel se trouve au bord du désespoir, l’alliance composée de la France de l’entité sioniste d’Israël et du makhzen marocain dans notre région et non dans quelque endroit lointain. Son objectif le plus ultime est d’arrêter l’Algérie, de la diviser et de la réduire.

L’« opposition conservatrice » rejoignant ce front représente la même notion. Ceux qui se sont détournés de l’héritage politique national sont passés au front des projets multinationaux. Une alliance de partis politiques a été conçue pour arrêter l’Algérie conformément aux priorités des organisations terroristes. Il s’agit d’une façade interne. C’est l’arme priviligiée de ces trois larrons pour « renverser Tebboune et arrêter l’Algérie».
Nous sommes dans une période où nous devons être « défensifs et offensifs ». Nous l’avons déjà fait, nous le ferons donc à nouveau, Si l’on veut activement transformer un conflit, il convient de se concentrer sur le niveau où se situe le problème. Nous répondrons aux attaques par des attaques, aux infractions par des infractions et aux menaces plus sophistiqués par des interventions encore plus sophistiqués, prévues par des lois internationales d’une manière indépendante, impartiale et juste. Et du principe de responsabilité doit être pleinement appliqué par toutes les forces en présence.

Toute tentative qui entraverait l’Algérie à l’intérieur et dans la région sera stoppée. L’Algérie dispose à la fois la détermination et le pouvoir de le faire. L’Algérie doit achever les travaux qu’elle avait entrepris dans le grand sud. Elle doit purger les trois principales zones chaudes enjambant ses frontières des menaces marocaines, des troupes libyennes de Haftar et des djihadistes du Sahel, sources de tous les maux. Ce sont là les principales menaces de l’Algérie auxquels, elle doit faire face. Ces zones doivent être dégagées de la présence des terroristes présents.
Ils se préparent maintenant à frapper l’Algérie à partir de ces zones, auxquelles le pays est confronté quotidiennement avec les forces assaillantes implantées aux quatre points cardinaux. Les préparatifs sont actuellement en cours pour une nouvelle opération. Nous ne devons jamais hésiter à utiliser davantage la force si c’est nécessaire pour faire régner la paix et assurer le respect des droits des algériens. Notre réplique à ces menaces permettra non seulement de nettoyer la région de la présence des terroristes, mais aussi d’arrêter les pressions exercées sur nous et de gâcher la moindre occasion de trouver un compromis avec les assaillants. Ces ripostes nous feront gagner le XXIe siècle. L’Algérie deviendra certainement l’une des dix premières superpuissances mondiales.
Ni la France ni encore moins l’Israël n’ont la capacité nécessaire d’arrêter l’Algérie. Compte tenu du risque qu’ils encourent, ils ne pourront pas le faire, car on ne leur donnera pas de répit. Le Maroc ne peut pas arrêter l’Algérie. Une fois que les risques qu’il devra prendre sont soigneusement étudiés, il se prononcera contre. C’est sur ces avancées qu’il faut s’appuyer pour être une superpuissance continentale.

Nous avons besoin de déclarations audacieuses! Frappez-les là où ils s’y attendent le moins !
Les périodes extraordinaires nécessitent des déclarations complètes, même dans les domaines militaires, politiques de bonne volonté à des mesures concrètes afin d’accélérer les progrès sur le terrain et de contribuer ainsi à la réalisation du mandat. Des positions essentielles qui transcendent les préoccupations mondaines doivent être adoptées. Des déclarations fortes doivent être faites contre le marmitage médiatique de la perception mentale et environnementale.

Ces déclarations doivent être des actions bouleversantes et révolutionnaires qui arrêteront toutes les forces assaillantes dans leur élan et leur effort commun. Le peuple courageux de l’Algérie doit laisser derrière lui toutes ses vendettas personnelles et produire des réponses historiques à cette confrontation qui se transforme en un conflit contre nous.

C’est nécessaire car un jeu visant à briser la volonté de l’Algérie se joue à toutes les échelles. Une tempête de chaos, basée sur la trahison intérieure, est en train d’être cultivée.
Alors qu’ils sont occupés à mettre en œuvre leur plan pour « arrêter l’Algérie », nous devons développer des ondes de choc qui les arrêteront dans leur empressement et enthousiasme contre l’Algérie. Nous devons agir là et au moment où ils s’y attendent le moins.
C’est le résultat inévitable

Si le pays est capable d’atteindre ses objectifs majeurs, il établirait un système politique fort qui mènerait de profondes réformes structurelles dans l’économie et la société, aboutissant à l’Algérie comme une véritable puissance régionale en Afrique du Nord et en Méditerranée occidentale. Élargirait les horizons d’influence extérieure de l’Algérie sur les plans militaire, économique et culturel à l’ensemble de l’Algérie.
En effet, l’un des éléments qui font que des nations soient des nations, ce sont ces victoires dans leur histoire qui sont marquées par les douleurs, les âmes et le sang à la lumière de l’Algérie. Nous savons que notre patrie millénaire n’est pas une roseraie sans épines, nous passons presque chaque jour à lutter.

Nous payons le prix de garder et de faire de ces terres une patrie depuis mille ans. C’est un fait que lorsque nous voyons ce qui s’est passé dans les régions d’Afrique et d’Asie au cours des dernières années, nous obtenons notre récompense en sauvant notre unité, notre solidarité, notre fraternité, notre État et notre avenir.
Depuis le 22 février 2019, l’Algérie est le pays qui a accumulé le plus de puissance, développé le plus son champ d’activité, surpris le plus le monde, suscité la curiosité de plus d’un spectateur. Elle s’est demandé quelle serait-elle alors sa prochaine étape?

L’Algérie n’a jamais ralenti ses efforts pendant la période de pandémie. Elle n’a jamais freiné son avancement et sa capacité de soutenir son rythme de développement. Elle a toujours luttée contre la pandémie et à la dépression économique mondiale causée par l’épidémie. Ce sont des signes précurseurs d’une grande nation et selon toute vraisemblance, elles inquiéteraient beaucoup ses ennemis qui causaient tant de désordres dans la société.
Pourquoi cette alliance est dirigée contre l’Algérie ?

La réponse à la question : Pourquoi une telle alliance franco-israélienne et du makhzen marocain contre l’Algérie ? Tient, pour une large part, dans les points évoqués ci dessus.
Aux yeux de la « France et de ses alliés se trouvant dans l’alliance», l’Algérie a commis dix (10) «fautes impardonnables» :
1 – Elle entretient de trop bonnes relations avec la Russie, pays dans lequel elle forme les officiers de son armée depuis fort longtemps et auquel elle achète beaucoup de matériels militaires majeurs (dont les fameux S 300-400) ( Sukhoi 30-34 et bientôt 57).

2 – Elle entretient de trop bonnes relations avec l’Iran, ennemi désigné des USA et d’Israël, et, par conséquent, pas vraiment ami du Maroc et de la France, derrière des discours hypocrites et trompeurs, n’ont rien fait d’efficace pour remplir leurs engagements dans l’affaire du Sahara occidentale.
3 – Contrairement à la gouvernance de plusieurs pays arabes (dont le docile Maroc, son voisin), l’Algérie novembriste a refusée de rejoindre la grande coalition saoudienne, soutenue par les occidentaux, dans son intervention armée au Yémen.

4 – En outre, depuis le début du conflit syrien la gouvernance d’Algérie libre et indépendante a entretenue de bonnes relations avec celle de Bachar el Assad en Syrie et refusé de participer à la curée et au démembrement de ce pays programmé par les occidentaux et certains de leurs alliés arabes au profit de l’État hébreu.
5 – Enfin, l’Algérie des principes de novembre reste l’un des derniers bastions arabes dans la défense de la cause palestinienne. Chacun peut comprendre que cette position indispose l’État hébreu et alliés qui peuvent y voir un obstacle sérieux au « deal du siècle ».

6- Quant à la France et à l’État hébreu, la fin de la Guerre d’Algérie peut être considérée comme la grande ligne de partage du temps dans leurs relations. Car entre les deux nations, rien ne sera alors plus jamais comme avant…
7- Enfin, économiquement, une Algérie française aurait été aussi, pour Israël, un tremplin économico-commercial, mais aussi diplomatique vers l’Afrique noire (chose dont l’État hébreu s’est finalement aisément passée puisque son implantation commerciale et économique, mais aussi diplomatique sur le continent africain a été un succès). Mais surtout, n’oublions pas que la France était sur le point de devenir une puissance pétrolière et gazière grâce au Sahara, cet immense espace stratégique offrait lui aussi des possibilités inestimables dans les domaines de la recherche nucléaire mais aussi spatiale. Tous ces avantages qui, du fait des liens très étroits entre les deux pays, auraient bien sûr inévitablement profité à l’État hébreu, lui qui est dépourvu de ressources naturelles.
8-Israël a longtemps considéré la France comme un sein maternel, omniprésent et inépuisable. Mais cet État nourrisson a été brutalement sevré de la région par l’Algérie.

9- La fin de la Guerre d’Algérie et le rétablissement de relations diplomatiques de l’Algérie avec la majeure partie des pays arabes dès l’issue du conflit ont de quoi inquiéter la position « franco-israélienne» … En effet, pour ces deux larrons en foire et surtout leur maintien en Afrique du nord, revêtaient une importance capitale.

10- lorsqu’on parle de l’Algérie, de nombreuses autres questions importantes entrent en jeu dont notamment, le soutien franco-marocain porté aux déserteurs, opposants et Hommes politiques poursuivis par la justice algérienne, préférant se rendre dans ses pays notamment pour y trouvés refuge est pour l’argent volé et pour leur besoins vitaux, l’Islam, les sujets relatifs à la migration, au terrorisme et à la sécurité des frontières, tous étant des sujets d’actualité de première importance

Tarek Benaldjia

#Algérie #Maroc #France #Israël #Rothschild

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