-L’Algérie a besoin d’une économie diversifiée, performante, compétitive et transparente
-Il faudra changer les habitudes, affronter les intérêts particuliers, la lutte contre les passe-droits, la corruption et la bureaucratie
Tout le monde est conscient des défis que représentent pour le pays la mise en œuvre de réformes nécessaires à la garantie de l’Etat de droit et la mise en place d’une économie diversifiée, performante, compétitive et transparente. Cette philosophie demande du courage pour faire changer les habitudes, affronter les intérêts particuliers, la lutte contre les passe-droits, la corruption et la bureaucratie. En toute logique il s’agit de la réponse la meilleure pour garantir la stabilité et la prospérité à long terme.
Les réformes convaincantes, solides et appropriées sont la meilleure réponse que le nouveau gouvernement dirigé par le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane peut apporter à la conjoncture actuelle que traverse le pays sur le plan économique, financier et social et aux attentes concurrentes des citoyens et de la jeunesse en particulier.
Faudra-t-il encore cette détermination accrue de tous car les choses, les acquis ne sont pas difficiles à faire, ce qui est difficile c’est que tout le monde se mette en état de les faire avec conviction à travers des réponses et des actions concrètes qui ne doivent guère être ternies par des controverses politiciennes, des tensions sociales ou d’obstacles visant à freiner cet élan nouveau.
L’important c’est d’apporter des modifications jusqu’à garantir la solution des vrais problèmes : les problèmes de la population. En effet, le citoyen algérien dans son désir aspire à un avenir prospère dans un Etat de droit, démocratique, débarrassé de toutes les pratiques du passé et offrant à tous des opportunités égales.
Aussi aucun modèle de développement ne peut mieux réussir que le rétablissement de la confiance du citoyen en droite ligne et répondant sans équivoque aux aspirations populaires légitimes qui renforcent l’Etat de droit, la consolidation des institutions et du développement socio-économique profitant à tous. C’est un espoir national qui s’exprime depuis Février 2O19 de voir le pays reprendre la voie du succès. C’est là un objectif qui exige des efforts soutenus pour changer les comportements, les mentalités et éliminer les stéréotypes sociaux concernant les rôles et les responsabilités de chacun et de tous ; une volonté qui devra réunir par la convergence des approches nécessaires à la mise en œuvre de mesures positives, ciblées sur des objectifs précis de développement économique et social.
Justement, le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane dès sa prise de fonction, a mis l’accent sur le rétablissement de la confiance du citoyen qui constitue dès lors la » priorité du gouvernement, en sus d’autres dossiers tout aussi important, en tête desquels la lutte contre la corruption ».
Pour lui, » La lutte contre la corruption est une priorité qui ne manque pas d’importance « .
B.C.
Lemaghrebdz, 20/10/2021