Par/Agences
L’Algérie a été élue à des organes clefs de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), à l’issue des travaux de la 21ème réunion du Conseil de cette organisation inter-gouvermentale tenue par visioconférence les 25 et 26 mai, a indiqué jeudi un communiqué du ministère de la Transition énergétique et des énergies renouvelables.
« L’Algérie a successivement été élue membre, puis vice-présidente de la Commission du programme et de la stratégie (CSP), aux côtés des Etats-Unis élus à la présidence de cet organe, composé de dix Etats membres et qui a pour mission notamment d’examiner la mise en œuvre du programme de travail, la formulation du projet de programme de travail et plans stratégiques, en vue de présenter ses recommandations à ce sujet au Conseil », a précisé la même source.
L’Algérie a été élue aussi comme membre du Comité consultatif sur l’éthique pour un mandat de deux ans, au même titre que les Emirats Arabes Unis et l’Allemagne, a ajouté le communiqué soulignant que cet organe est composé de trois Etats membres chargés d’aider à la mise en œuvre de la politique sur l’éthique et les conflits d’intérêts de l’IRENA.
Selon le ministère, « l’Algérie compte apporter sa contribution à la mise en œuvre de la stratégie des Nations unies pour la lutte contre les changements climatiques et participer avec détermination aux travaux de l’IRENA, notamment au sein du Conseil et de ses organes subsidiaires, dans lesquels elle œuvrera à faire avancer les actions en faveur de la promotion et le développement des énergies renouvelables dans les pays en développement, la mobilisation des investissements et l’accès aux financements, ainsi que le renforcement des capacités, la formation et l’amélioration de la recherche et développement ».
Le Chiffre d’affaires, 28 mai 2021
Etiquettes : Algérie, énergies renouvelables, IRENA, énergie verte, pollution, climat, réchaffement climatique,
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