L’agriculture et le tourisme constituent les piliers fondamentaux de l’économie marocaine. Dans le secteur touristique, le pays s’était fixé pour objectif d’atteindre les 10 millions de touristes à l’horizon 2010 et 20 millions pour 2020.
Le développement du tourisme entraîne malheureusement une augmentation du nombre de visiteurs mal intentionnés, et notamment de pédophiles. L’appât du gain a poussé les autorités à encourager la tolérance envers les pratiques relevant de la perversion.
L’exploitation de mineurs à des fins de prostitutions et impliquant des touristes est devenu un acte encouragé en vue d’attirer les touristes qui viennent au Maroc pour consommer la virginité de filles mineures et abuser des petits garçons. Ainsi, dit-on, le Maroc a détrôné la Thaïlande dans les domaines de la prostitution et la pédophilie.
L’exploitation sexuelle des mineurs dans le tourisme est une réalité dans des villes touristiques comme Agadir, Marrakech et Casablanca. La précarité des familles est l’une des principales raisons qui poussent les enfants à la prostitution. Celle-ci gangrène la société marocaine au point de devenir un fait banal. Marrakech est une des plus grandes villes du pays. Que son économie soit exclusivement fondée sur le tourisme sexuel ne semble plus déranger personne, ce qui en a fait la destination principale des touristes français, y compris des élites dont les frais de voyage et d’hébergement étaient à charge du pouvoir. Rappelons le « ministre poissé », selon les propos de Luc Ferry.
Les documents de la diplomatie marocaine balancés par le hacker Chris Coleman ont révélé comment le cabinet du directeur de la DGED s’occupait de tous les détails des visites de ses illustres hôtes dont les secrets sont soigneusement gardés par les murs de La Mamounia et d’autres luxueux établissements.
Suite aux scandales de pédophilie et d’inceste suscités par les ouvrages de Vanessa Springola et Camille Kouchner, nombreux sont ceux qui s’attendent à ce que la bombe marocaine explose en révélant les pratiques des élites françaises au Maroc. Il s’agit d’une véritable boîte de Pandore qui risque de briser de nombreuses carrières de personnalités ayant obtenu leurs diplômes à l’Université de Sciences Po.
Etiquettes : Maroc, tourisme sexuel, pédophilie, pédocriminalité, Sciences Po,
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