La télévision publique néerlandaise prévoit de diffuser un programme danois intitulé « simplement nu » dans lequel des enfants âgés de 10 à 12 ans sont exposés à des adultes nus pour leur poser soi-disant des questions sur leur corps. L’émission, que certains considèrent comme une normalisation de la pédophilie, a suscité des critiques de la part du public et des politiciens.
Au-delà du fait que les producteurs de l’émission, qui partagent manifestement l’opinion perverse selon laquelle des enfants innocents et purs à cet âge doivent regarder les organes sexuels d’adultes (pour quoi faire exactement ? !), ont assuré que tout cela était « soigneusement produit », l’argument est sans valeur, l’impact sur ces enfants sera à moyen et long terme si cela est normalisé.
Selon le Daily Mail, les critiques l’ont qualifiée de « dégoûtante », le chef du parti de droite FvD, Thierry Baudet, déclarant qu’elle « s’approche de la promotion de la pédophilie. »
Le député de gauche Tunahan Kuzu a qualifié l’émission de « ridicule » et a demandé à ses partisans d’écrire au radiodiffuseur national pour se plaindre.
Le parti conservateur SGP a également demandé au Parlement pourquoi l’émission est toujours diffusée.
Certains enfants qui ont regardé l’avant-première du programme ont dit des choses comme « ce n’est pas une émission que je dois regarder » ou « je me suis senti un peu mal à l’aise au début ». Ces commentaires montrent clairement que les enfants rejettent naturellement la sexualisation à un si jeune âge, mais si on les pousse continuellement à consommer ce matériel pervers, ils finissent par l’accepter.
Le but ultime est que les enfants acceptent de voir des adultes nus pour qu’ils finissent par accepter un pédophile cherchant à être intime avec eux : c’est la pire des perversions que les gens ne devraient pas accepter.
Les médias sociaux favorisent cette perversité
Le média social Twitter fait tant de bruit autour des prétendus « discours de haine » qu’il censure les conservateurs qui critiquent les drag queens, racontant des histoires aux enfants dans les écoles maternelles, mais dans le même temps, il permet aux utilisateurs qui publient des abus sur les enfants et de la pornographie enfantine de profiter du réseau.
Le 8 mars, Breitbart a fait état de Lauren Witzke, une ancienne candidate au Sénat de l’État du Delaware, qui a été suspendue sur Twitter pour avoir critiqué un personnage transgenre qui qualifiait les filles de « perverses. »
« Le dernier tweet avant qu’ils ne me ferment définitivement », a déclaré Witzke. « Traiter les pédophiles de démoniaques viole maintenant les conditions de service de Twitter en tant que ‘contenu haineux’. CONTINUEZ À VOUS BATTRE ! C’est à vous de reprendre le flambeau et de vous battre pour ce qui est juste ! ».
Fin janvier, le New York Post a rapporté l’histoire d’un adolescent qui a été piégé pour montrer des photos intimes à une personne en ligne. Cette personne l’a fait chanter en menaçant de publier ses photos s’il ne lui envoyait pas du matériel plus sexuel de lui avec quelqu’un d’autre.
Tourmenté par la situation, le garçon, qui avait 13 ans à l’époque, s’est exécuté.
Le pervers qui l’a fait chanter a ensuite publié les vidéos du garçon sur sa chaîne Twitter où il partage de la pédopornographie et du matériel obscène. Selon le rapport, la chaîne comporte des publicités sur le côté, ce qui signifie qu’elle génère des revenus.
Le jeune homme, aujourd’hui âgé de 17 ans, a découvert que les vidéos étaient en ligne parce que nombre de ses pairs et de ses connaissances les ont vues et se sont malicieusement moqués de lui au point de lui faire avoir des pensées suicidaires.
En grande détresse, il a écrit à Twitter pour demander que les vidéos de ses abus soient retirées, mais Twitter a refusé, affirmant que les vidéos ne violaient pas les règles de la communauté.
Ce n’est que lorsque la mère du garçon a trouvé de l’aide auprès de fonctionnaires de la Direction de la sécurité intérieure qu’elle a réussi à faire retirer les vidéos, mais c’était après avoir demandé à Twitter de le faire à au moins trois reprises, sans succès.
Que nous faut-il de plus pour voir les vraies couleurs de Twitter ?
Source : The BL, 10 mars 2021
Tags : Pays Bas, pédophilie, pédocriminalité, #Metoo, #MetooInceste, inceste,
Soyez le premier à commenter