La France découvre la réalité derrière les imams qui arrivent du Maroc

A l’instar de ceux ommis à Paris et Bruxelles, l’attentat de Barcelone a été exécuté par des marocains recrutés, manipulés et dirigés par un imam de la localité de Ripoll et jouait l’agent double. Il était un agent des services secrets marocains et faisait semblant de collaborer avec ceux de l’Espagne.

Depuis, l’accointance des imams marocains avec les renseignements de leur pays d’origine n’est plus à prouver. Pour éviter tout risque, le président Emmanuel Macron a formé le Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR) qui s’est penché sur la question de la lutte contre toute forme de radicalisation, prévention de la délinquance;  prévention de la radicalisation et la lutte contre l’islamisme et le repli communautaire;  lutte contre les dérives sectaires. Il veut mettre fin au « système des imams détachés », en provenance du Maroc, de la Turquie, de l’Algérie, pour en former des imams français, en développant des « cursus d’islamologie » dans les universités, les projets d’écoles d’aumôneries (militaires et hospitalières).

L’Europe découvre que le vrai danger vient du Maroc, le pays qu’elle considérait comme allié et à qui elle a octroyé un «statu avancé» en dépit de son obstination pour le despotisme et les violations des règles les plus élémentaires des droits de l’homme.

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