Il semble que l’échec est devenu synonyme du règne de Mohammed VI. Il l’accompagne depuis son intronisation.
En effet, le roi du Maroc a enregistré un échec total à tous les niveaux. Ses protecteurs tentent de l’épargner en accusant ses conseillers et ses ministres, alors que c’est lui le premier responsable de la dégringolade marocaine sur les plan économique, social et politique.
Même sur le titre privé, Mohammed VI a été incapable de gérer sa famille. La disparition de son épouse Lalla Salma restera dans les annales de l’histoire comme un scandale qui marquera à jamais la vie du souverain chérifien.
Depuis la disparition de celle que la presse internationale qualifie de « princesse fantôme », les marocains se posent la question : « Un roi incapable de gérer les affaires de sa famille, serait-il capable de gérer le destin de toute una nation ? ». Dans cette affaire, lui et ses conseillers se cachent derrière le silence d’une presse assujettie par le bâton et la matraque.
Ses revers sur les plans social et économique sont visibles dans le langage critique qu’il a adopté envers sa propre action. Il se cache derrière la question de « Où est la richesse ? » qu’il a distribué entre ses sujets en vue d’asseoir son pouvoir par la corruption et le clientélisme.
Au moment où le peuple marocain s’enfonce dans la pauvreté, les inégalités et la précarité, la fortune du roi du Maroc ne cesse d’augmenter grâce à la prédation systématique de ses sociétés qui monopolisent l’ensemble de l’activité économique et financière du pays.
Au niveau politique, la monarchie a été contrainte de faire recours aux islamistes pour se protéger contre le Mouvement 20 Février et les manifestations du Printemps Arabe. Aujourd’hui, la première tâche du palais est la lutte conte la popularité du PJD et la prépareation des prochaines élections en vue de poser ses pions du RNI.
Au niveau international, l’image du Maroc a été fortement secouée par la participation des marocains dans les attentats perpétrés en Espagne, en France et en Belgique et la répression contre la population du Rif, Jerada, Zagoura, la presse et les chanteurs du rap. Une répression constamment condamnée par les manifestations de la communauté rifaine en Europe.
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