Le passage de Nicolas Sarkozy à l’Elysée a été historique. Non pas parce qu’il aurait fait des grandes réalisations pour le pays, mais par ses manières propres d’un voyou élevé dans les pires conditions. Il aura atteint le sommet de la vulgarité avec son célèbre « casse-toi, pauvre con ! ».
Il a tout fait pour arriver au pouvoir. Il a tenté de tromper son électorat en essayant de garder sa première épouse à ses côtés, mais dès qu’il a gagné les élections, il l’a larguée. Des élections qui ont été remportées avec de l’argent provenant, entre autres, de la Libye de Kadhafi. Une vérité que Sarkozy voulait enterrer avec l’assassinat de Kadhafi. Son engagement et sa motivation à en finir avec le régime de Kadhafi posent beaucoup de questions.
Certaines âmes innocentes ne croient pas les responsables français capables de tels agissements. Le confort dans lequel certains enfants de la république ne les laissent pas voir le côté cruel des dirigeants du pays qui se dit « berceau des droits de l’homme » où le moral et l’éthyque n’ont plus aucune place ni valeur face aux intérêts géopolitiques et bénéfices économiques.
Aujourd’hui, la justice vient de confirmer que le premier voyou de la République sera bel et bien jugé pour corruption. Et encore, ce n’est que la pointe de l’iceberg. Si la justice creuse encore un peu dans son dossier, elle trouvera les preuves suffisantes pour démontrer le véritable visage du nouveau modèle de l’homme politique gaulois.
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