On dit que les fautes d’orthographe nuisent gravement à l’embauche. En effet, la qualité de l’expression écrite revêt toujours autant d’importance dans le monde numérique qui a envahi notre espace vital et les lacunes en expression écrite pèsent sur l’employabilité des individus et l’image des employeurs.
Dans ce cas, celui que le magazine Tel Quel a décrit comme le mystérieux ami du roi Mohammed VI, Fadel Benyaich, aurait reçu un tonitruant refus à sa candidature à cause de ses nombreuses fautes d’orthpgraphe.
Dans un des documents confidentiels révélés par le hacker @chris_coleman24, l’ancien amabassadeur du Maroc en Espagne s’est avéré incapable de rédiger une lettre sans fautes d’orthographe.
Dans cette missive adressée à José Manuel García-Margallo, ministre des affaires étrangères articulée en trois (3) petits paragraphes, on relève pas moins de quatorze (14) fautes d’orthographe et de conjugaison. Tout un record et un régal pour celui ou ceux qui auront la chance ou la malchance de lire cette note.
Il faut reconnaître l’impossibilité de trouver un homme politique qui puisse faire souffrir la langue française autant que Monsieur Fadel Banyaich, qui exerce depuis 2017 le poste d’ambassadeur à Bucarest.
Il a utilisé le terme « municipalistes » qui n’a aucune trace ni dans le Littré, ni dans le Robert, ni dans le dictionnaire de l’Académie française. A moins que l’illustre diplomate n’ait voulu innover !
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