Après sa dernière vive et juste intervention diffusée par les réseaux sociaux, Ali Benhadj, le vice président du Front islamique du salut, privé de tous ses droits politiques qui sont des droits fondamentaux inhérents à la personne humaine. Même ses droits naturels lui sont refusés.
Depuis hier, le vice-président du FIS est retenu prisonnier dans sa maison dont la surveillance policière a été renforcée pour l’intimider, et le cas échéant, l’empêcher de sortir pour vaquer à ses occupations quotidiennes, rencontrer ses proches, ses amis et les Algériens.
Selon son entourage, c’est une véritable armada de policiers qui a pris place autour du domicile du leader du FIS. Cette énième atteinte aux droits inaliénables de Ali Benhadj est intolérable et inadmissible, et les organisations internationales des droits de l’homme sont interpellées et doivent se prononcer urgemment sur ces violations constantes des traités et des conventions internationaux que l’Algérie a signés et ratifiés.
Les « partis » politiques algériens, les associations, les syndicats autonomes doivent clairement dénoncer ces persécutions et exiger que Ali Benhadj soit rétabli dans tous ces droits politiques et sociaux que le pouvoir bafoue depuis des décennies.
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