Par Nourredine Bouteldja
Ya- t-il quelqu’un- ou quelqu’une, tiens- pour éclairer la notre lanterne, siouplait ?
Elle cligne de l’œil, blafarde et opaque. Mais elle brûle les neurones des grands -et des moins grands- angoissés devant l’improbable table de poker.
Où semble se jouer la partie présidentielle 2019.
Makri nous dit que Boutef- s’il passait la cinquième- serait la cata. Mais le fieffé islamiste s’accommoderait volontiers de portefeuilles- sonnants et trébuchants ?- en future Primature croulant sous des déluges d’apocalypse !
Si Ali Benflis qui avait pourtant abordé la partie comme avec 4 ’’As’’ dans la manche se raidit, figé par la peur d’une quinte flush virtuelle.
Le troisième joueur-encore un Ali- un jeune loup aux dents longues- semble manier à la perfection les règles du poker.
Dans ce jeu, la maitrise des pulsions, le culot et le bluff constituent les fondamentaux.
Jusque-là, Ghediri qui propose la chute du système- sans garantie de filet pour la Cité- assure avoir réuni les 60 000 signatures -en un tournemain- et fondre sur 2 autres millions. CQFD?
Et Boutef ?
Ben, Boutef, il dit rien. Il joue !
Quid de Louisa ?
Malotru, c’est une Dame, elle joue pas au poker !
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