Les rapports se multiplient sur la drogue, en particulier sur le premier producteur africain qui est… le Maroc ! Mais au Maroc même, le sujet est tabou. Les Nations unies elles-mêmes viennent de sortir leur rapport annuel, le 26 février dernier.
Dans ce rapport annuel de l’OICS (Organe International de Contrôle des Stupéfiants), le cannabis continue d’être “cultivé illicitement à grande échelle au Maroc”. Les données des Nations Unies confirment les analyses réalisées par l’Observatoire international de la criminalité de l’Université belge de Louvain. Ce dernier dit que le Maroc est devenu le premier producteur.
Mais personne ne parle de la consommation de la drogue au Maroc un outil qui s’est avéré efficace pour calmer les esprits “perturbés” dans les années 70. Une idée ingénieuse des stratégies du système markhzenien pour canaliser la jeunesse rebelle à l’époque et qui a rapporté ses fruits.
Cette politique a été inspirée de la politique américaine des les débuts des années 70 pour casser les mouvements des droits civils black. Mais il se trouve que les “pauvria” du Maroc ont commencé à développer une certaine résistance face à cet insecticide comme les insectes auxquelles ils se sont associés souvent par la crème chantilly qui gère et profite du bled.
C’est ainsi que les stratégies ont su qu’on est en phase de déclin pour ce produit et ils ont mis au point une nouvelle stratégie : un produit qui existait déjà. Mais il fallait faire un effort pour baisser le prix, pour le vulgariser, c’est le karkoubi. Un psychotrope très dangereux qui rend son consommateur dépendant au bout de la 3ème consommation. Une drogue qui était réservée à la racaille. Fidèle à ses habitudes, le makhzen donne d’une main et frappe de l’autre, la police parle d’un trafic qui vient de l’Algérie oui d’accord, et mis en place par une cellule de prévention composée de 10 personnes pour lutter contre ces trafiquants … !?!