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Les délires de BHL sur les gilets jaunes

Le pseudo-philosophe entartré BHL éructe sa haine et son mépris des gilets jaunes et son amour de Macron sur le plateau d’ONPC :

“Je sais ce que c’est la différence entre un mouvement social qui est porté par une espérance, qui est porté par une colère vraie, qui est portée par des vrais projets. Et une colère qui ne veut rien d’autre que le rien, que la haine, que la destruction”.

“Le premier dimanche soir, j’ai prononcé un texte, devant le Crif, que j’ai publié ensuite dans Le Point, où j’ai dit qu’il y a dans l’histoire de France deux types de colères, deux types de révoltes, certaines sont porteuses de quelque chose et “accoucheuses” d’une société meilleure. Et d’autres qui ne nous annoncent que le pire”, a-t-il poursuivi.

Sans étonnement, il reçoit le soutient de la pseudo-anarchiste, pseudo-écrivain, égocentrique et donneuse de leçons gauchiste, l’éructante bafouillante Christine Angot. Les ‘procureurs’ de plateaux télé, privilégiés de la caste médiatique, cosmopolite, s’assemblent…

Après un débat tendu sur les Gilets jaunes, Charles Consigny a remis en cause le milieu favorisé dans lequel l’invité évoluerait et qui desservirait son propos sur le sujet. Ce mouvement est une “révolte populaire qu’il ne faut pas disqualifier d’en haut mais qu’il faut écouter” et il faut “tendre la main” à ses participants”, a-t-il ainsi estimé. Face à ces propos, le pseudo-philosophe a dénoncé la “vision sociologique” de Charles Consigny. “Pour vous quand on est à peu près bien né, en ce qui me concerne ce n’était pas d’ailleurs évident…”. “Vous n’êtes pas bien né ! Vous vous appelez Lévy, qu’est-ce que vous racontez, vous n’êtes pas bien né (…) Qu’est-ce que c’est que cette histoire !”, a coupé Christine Angot.

“N’empêche que là, actuellement, j’estime que pour moi, que soit prononcée sur un plateau l’idée qu’un homme juif se balade dans plusieurs pays étrangers…”, a estimé Christine Angot, avant d’être interrompu par Charles Consigny. “Mais ça va pas. Je vois venir un truc qui me fait peur”. Et de provoquer l’ire de l’écrivaine. “Laisse-moi terminer ! Laisse-moi terminer ! Moi aussi ça me fait peur ce que tu as dit ! J’estime que ce propos du cosmopolitisme qui vous est reproché, pour moi, ça dessert une émission de télévision”(à partir de 43:30 sur la vidéo).

Francesca de Villasmundo

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