CEUX QUI COMPARENT ALI BONGO A FRANKLIN D. ROOSEVELT, SE MOQUENT D’EUX MEMES
Devant la comédie d’un Ali Bongo tel un animal empaillé qu’on a préparé pour être exhibé de temps en temps, certaines personnes ont le culot d’avancer la comparaison entre la paralysie de Franklin Delano Roosevelt l’ancien président des USA, et celle d’Ali Bongo. Mais ces gens s’amusent avec les faits.
Si Franklin Roosevelt perdit à la longue l’usage de ses jambes à cause de la maladie dite du syndrome de Guillain-Barré, ses facultés intellectuelles ne firent jamais l’objet d’aucun doute. Roosevelt fut paralyse des jambes, mais sa cervelle et sa faculté de communication verbale demeuraient intactes.
Dans le cas Ali Bongo, on a quelqu’un qui a souffert d’un AVC, c’est-à-dire d’un L’accident vasculaire cérébral. Les cliniciens nous disent qu’un AVC s’accompagne souvent de lésion cérébrale et de manifestations secondaires pouvant faire perdre au patient son élocution, ses facultés mentales et parfois même la vue.
Quand on sait que pour diriger un pays, il faut avoir une capacité d’analyse assez poussée, on peut bien se demander comment un Ali Bongo qu’on cache aux journalistes peut bien prendre aujourd’hui des décisions dont l’impact pourrait être national ?
Non arrêtez le cirque, Ali Bongo est fini !
On ne lâche rien !