Sous le titre de « Assassinat de touristes au Maroc – ont-elles été victimes de terroristes? », le site suisse Bluewin indique que « les deux touristes scandinaves tuées au Maroc ont probablement été victimes d’un acte terroriste. Cette nuit-là, quatre suspects campaient à seulement 30 mètres des deux jeunes femmes. Et quelqu’un aurait enregistré toute la scène ».
Selon France Soir, il y a des « questions autour du mobile terroriste ».
Le site français affirme que « l’enquête sur le meurtre de deux jeunes touristes scandinaves dans le sud du Maroc, qui se focalise désormais sur le « mobile terroriste », suscite des questions dans un pays qui avait été épargné par les attaques jihadistes depuis 2011 ».
Il ajoute que « sur les photos d’identité de l’avis de recherche, un des suspects porte un qamis (vêtement long blanc) et arbore une barbe non taillée. Le deuxième porte aussi une barbe fournie, le troisième a un visage maigre cerné d’un bouc. Mais les trois hommes étaient rasés et portaient des vêtements ordinaires lors de leur arrestation, selon les photographies diffusées par la police. D’après des médias marocains, ils ont entre 25 et 33 ans et vivaient jusqu’ici dans la région de Marrakech, dans la précarité ».
Pour sa part, le New York Post, sous le titre de « les enquêteurs croient que le meurtre des deux routardes était « à caractère sexuel », rapporte, citant Morocco World News, un site proche des autorités marocaines, que « des détectives enquêtant sur le massacre horrible de deux routardes scandinaves dans leur tente au Maroc pensent que c’était pour des raisons sexuelles ».
« Ils croient que les trois suspects de Marrakech auraient traqué Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, de Norvège, et Maren Ueland, 28 ans, du Danemark, avant de les attaquer lundi pendant leur sommeil » ajoute-t-il.
Selon le journal américain, « l’agression sexuelle pourrait plutôt avoir été le motif du crime à un endroit situé à 6 milles du village de montagne éloigné d’Imlil, près du pied du mont Toubkal, le plus haut sommet de l’Afrique du Nord ».
« Il est apparu que les suspects campaient à 600 mètres (moins d’un demi-mille) de Louisa et Maren. Il paraît qu’après avoir commis le meurtre, ils se sont enfuis en quittant leur tente, où l’un d’eux avait laissé une pièce d’identité oubliée », a-t-il ajouté.
« Des témoins ont vu le groupe la nuit alors qu’ils se dirigeaient vers le campement », conclue-t-il.
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