Les nazislamistes ne font plus recette en Tunisie comme en 2011-2012 au temps où l’I.S.I.E. l’organe fossoyeur des espoirs du peuple pour un monde meilleur.
Il n’en demeure pas moins qu’ils conservent intacts leur capacité de nuisance et sont les seuls à pouvoir disposer d’une force de frappe structurée et organisée. Capables de pouvoir mobiliser 400 000 à 500 000 partisans totalement acquis à leur cause dont une partie d’entre eux sont des véritables escadrons de la mort.
Mais la partie n’est pas perdue si la majorité des Tunisiens se donnent la main et laissent leurs querelles partisanes de côté.
La Tunisie ne mérite-t-elle pas une véritable union sacrée pour la sauver des griffes radioactives de l’hydre islamiste ? C’est le peuple qui a sauvé l’Égypte et non pas les urnes où les dés sont pipés.
Des millions de Tunisiens doivent sortir dans la rue pour leur barrer la route s’ils veulent sauver le peu qu’il en reste. Sa survie en dépend. Ne rien faire c’est se rendre complices de ses bourreaux et se trouver demain devant le tribunal de l’histoire pour crime d’indignité nationale.
Il faut redonner à ce pays ses couleurs d’autrefois avant que le voile de la mort ne se soit déployé sur lui avec le retour sur son sol du terroriste jamais repenti Rached Ghannouchi et ses sbires.
Il n’y a qu’un parti celui de la patrie. On l’aime on sort de chez soi et on lui exprime son dévouement avec force et détermination, on ne l’aime pas on reste chez soi pour se délecter du spectacle de sa descente aux enfers nazislamistes.
Le destin de ce pays est plus que jamais entre les mains de son peuple. C’est lui et lui seul qui peut la sortir du fond du gouffre.
A-t-il encore une once d’amour en lui pour ce pays dont l’étoile a brillé aux firmaments des nations de l’histoire ? La balle est dans son camp et nulle part ailleurs. En a-t-il la volonté de la sauver ? Son inertie légendaire qui laisse supposer qu’il serait indifférent au sort de son pays n’est guère rassurante.
La nébuleuse salafiste et milicienne d’Ennahdha, alliée naturelle let ses satellites sauront voter d’une seule voix le jour j et la majorité des Tunisiens pourront se draper dans leur honte de leur avoir pavé la voie de la victoire.
Les prochaines échéances électorales constituent la mort inéluctable d’un pays agonisant.
Pour lui redonner le souffle de vie, il ne faut surtout pas prendre le pari des partis afin d’éviter de donner aux félons islamistes la légitimité qui va consacrer leur main mise finale sur leur butin tunisien.
Voter c’est baisser le pouce pour achever leur proie tunisienne.
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