L’Algérie était classée comme étant une destination a risques pour les ressortissants français mais l’Algérie a fait pression sur la France pour lever cette mise en garde mais comme par hasard dès la levée de cette mise en garde une épidémie de Choléra se déclare en Algérie et ceci à la fin de l’été.Cela ne peut pas être du au simple hasard la France infiltrée par des israéliens et marocains et suisses du Mossad veut coûte que coûte isoler le peuple algérien et les marginaliser en les accusant d’être des terroristes ou un nids à virus ou microbes pour que la valeur du passeport algérien reste une des dernière du monde.Il s’agit aussi d’empêcher le developpement touristique en Algérie surtout au Sahara ou la beauté des paysages est extraordinaire.De plus il serait facile de créer des cliniques d’amaigrissement dans le Sahara ou soigner avec des bains de sable les rhumatismes des travailleurs européens.L’Algérie ne doit pas miser sur le tourisme sexuel et pédophile comme le Maroc et la Tunisie ce qui est la perpetuation d’un droit de cuissage colonial mais elle doit miser sur le tourisme médical et pourquoi pas mettre en valeur la médecine islamique prophétique et la médecine traditionelle des touaregs.
Certaines personnes accusent le non ramassage des poubelles en Algérie pour cette épidémie mais il faut savoir qu’en été les ordures sèchent rapidement à cause de chaleur qui avoisinent les 45 degrés celcius à l’ombre de plus le soleil émet des rayons ulta-violets qui tuent tous les virus ou microbes.De plus le virus du Choléra ne peut pas apparaitre de nul part il faut qu’une personne l’amène en Algérie après l’avoir sorti sans doute d’un laboratoire de haute sécurité comme l’institut Pasteur qui a construit un laboratoire de ce type en Arabie. Depuis que l’institut Pasteur a aidé Ryad à la construction de ce complexe il y a eu au moins un million de cas de Choléra au Yémen il est possible vu l’ampleur de l’épidémie que le Choléra ait pu être répandu par voie aérienne donc les chemtrails.
A qui profite le crime? Tout d’abord cela profite aux producteurs d’eau minérale dont beaucoup sont des généraux ou ministres pour beaucoup des étrangers ayant des faux papiers algériens donc des mercenaires de l’étranger donc ils se fichent totalement de la santé du peuple algérien vu qu’ils ne sont ni musulmans ni algériens.Cela profite aux laboratoires qui vendent des antibiotiques qui sont en fait peu éfficaces.
Les cas de choléra en Algérie on mystérieusement fait leur apparition avec la nouvelle carte de voyage du quai d’Orsay (Travel Warning) demandée par l’ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt… donc cela ne peut pas être dû à un simple hasard.
Certains députés islamistes sont entrain d‘accuser la France, à travers sa société Suez environnement, qui gère l’alimentation de l’eau potable et de l’assainissement à Alger et Tipaza, à travers Seaal depuis 2006, d’être derrière la propagation de l’épidémie du choléra.
Après Naïma Salhi, voila que le député Lekhdar Benkhellaf, du parti Al Adala, se met de la partie. «Est-ce qu’il y a un lien entre le cholera et la fin du contrat de la société française Seaal des services de l’eau d’Alger et de ses environs à la fin du mois d’août. Juste une question», a-t-il posté sur sa page «facebook». Au-delà de l’inexactitude de l’affirmation selon laquelle Seaal serait une société française.
Seaal est entreprise de droit algérien dont les actions sont détenues à 70% par l’Algérienne Des Eaux (ADE) et à 30% par l’Office National de l’Assainissement (ONA), gérée par Suez Environnement (France) selon les termes d’un contrat de coopération liant cette dernière et le ministère des Ressources en eau – c’est le fait de laisser entendre qu’une société «étatique», quoi que gérée par une entité étrangère, puisse être derrière la propagation du choléra dans le pays qui pose problème.
Au lieu de s’exprimer sur les problèmes concrets liés à la propreté, l’environnement et aux contrôles des eaux (robinet, puits et forages) et produits alimentaires, ces islamistes préfèrent regarder ailleurs. Il faut rappeler que le contrat de gestion de Seaal par Suez Environnement, en vigueur depuis 2006, a été déjà renouvelé à deux reprises (2011 et 2016). A la fin de ces deux premiers accords, il n’y avait pas eu d’épidémie de cholera.
On peut ajouter à cela une épidémie de rougeole apparue de nul part en Algérie puis en France.De plus une épidémie d’Antrax en France un virus militaire américain.
Deux mois après le début de l’épidémie de fièvre charbonneuse dans les Hautes-Alpes, le syndicat agricole FDSEA a déposé plainte jeudi 23 août dans l’après-midi contre X pour « connaître la vérité » sur la résurgence de cette maladie transmissible à l’homme.
Le syndicat des Jeunes agriculteurs (JA) doit faire de même ce vendredi. Une partie du sud du département est confrontée à la plus importante anazootie de fièvre du charbon, aussi appelée anthrax en anglais, observée en France depuis près de 20 ans, une maladie potentiellement mortelle pour l’homme dans ses formes les plus rares.
« Vu le préjudice moral et financier que subissent les éleveurs, ils sont en droit de savoir d’où est sortie cette bactérie », résume René Laurans, président de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) des Hautes-Alpes, majoritaire dans le département.
Les agriculteurs sont menacés par une pénurie de vaccins
La bactérie Bacillus anthracis survit des dizaines d’années sous forme de spores dans les terres où ont été enterrés par le passé des animaux morts du charbon ou porteurs de la maladie: des « champs maudits », non cartographiés dans le département.
Le vaccin est le moyen le plus efficace pour enrayer l’épidémie. Mais, face à une pénurie temporaire, due à la fermeture en août du laboratoire espagnol qui le produit, les éleveurs espèrent « que l’État fera le nécessaire pour trouver le plus grand nombre de vaccins, dans les plus brefs délais », ajoute Alexandre Lagier, président des JA des Hautes-Alpes. « Nous avons acheté les 200 flacons disponibles et commandé 400 flacons supplémentaires qui seront livrés fin septembre », précise-t-il.
« L’État a entamé des discussions avec ses partenaires européens pour évoquer la disponibilité et le rachat des vaccins » dont ils disposent, précisait en début de semaine à La Provence Agnès Chavanon, secrétaire générale de la préfecture des Hautes-Alpes. Pour le président de la Région Sud -Provence-Alpes-Côte d’Azur et député européen Renaud Muselier, qui a interpellé le gouvernement, « l’enjeu est considérable et la situation critique ».
103 personnes potentiellement entrées en contact avec la maladie
Les autorités dénombrent 23 foyers distincts (28 exploitations) sur 13 communes et 50 bêtes mortes, (bovins, ovins et équins). Selon l’Agence régionale de santé (ARS), 103 personnes entrées potentiellement en contact » avec la maladie ont été recensées. La moitié bénéficie d’un traitement antibiotique préventif. Aucun malade, aucun nouveau cas n’ont été depuis observés, selon l’ARS.
Le monde agricole soupçonne d’importants travaux concernant une ligne haute tension du Réseau de transport d’électricité (RTE). « Les premiers cas de bêtes mortes sont survenus en dessous des pylônes » dans les communes du départ de la maladie, selon Sandrine Hauser, secrétaire générale de la FDSEA.
Ces travaux « ne semblent pas à l’origine de la résurgence de la bactérie », assurait en début de semaine Agnès Chavanon. Une enquête épidémiologique de l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) est en cours. Dès qu’un foyer est confirmé, les animaux concernés sont vaccinés et des mesures de blocage de l’exploitation, d’au moins 21 jours, prises par les autorités. Le lait collecté doit être pasteurisé et détruit.
En 2017, Donald Trump a donné son feu vert à la fabrication de virus mortels. Une mesure destinée à « développer des stratégies et des mesures offensives contre les éléments pathogènes qui menacent la santé publique », explique dans un communiqué Francis S. Collins, le directeur du National Institutes of Health, l’un des instituts américains de la santé. Trois maladies sont concernées par cette autorisation : le virus de la grippe, le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS).
L’Amérique et l’Arabie Saoudite utilisent le choléra pour tuer les Yéménites dans la guerre biologique.
Concernant la situation humanitaire au Yémen, Global Research (Centre de recherche canadien pour la globalisation), a rapporté que depuis mars 2015, les États-Unis ont soutenu l’Arabie saoudite et ses alliés dans leur guerre d’agression criminelle contre le Yémen.
Maintenant, les Yéménites souffrent d’une épidémie de choléra. Le choléra est une infection intestinale aiguë due à une bactérie appelée Vibrio cholerae.
Le choléra est causé par la bactérie Vibrio choléra et a été utilisé comme arme de guerre par les États-Unis, le Japon (en seconde guerre mondiale), l’Afrique du Sud (sous l’apartheid), l’Irak (sous Saddam) et d’autres États.
Pour être plus efficace, le choléra doit être répandu dans les réserves d’eau. C’est ce qui se passe au Yémen maintenant.
Plus de deux ans de bombardement ont largement détruit les infrastructures au Yémen ainsi que les systèmes d’eau et d’égout, les hôpitaux et les cliniques. La population d’environ 25 millions n’a presque aucune protection contre la propagation du choléra.
Bien que l’épidémie de choléra au Yémen ne soit pas une véritable guerre biologique, elle est sûrement considérée comme une guerre biologique avec d’autres moyens.
C’est une guerre biologique dans l’un des pays les plus pauvres du monde qui a été appuyée par le gouvernement de l’Amérique.
L’article a ajouté: Le meurtre des civils par les Américains a été augmenté au cours des derniers mois non seulement en Afghanistan mais aussi dans des pays tels que l’Irak (Mossoul) et la Syrie (Raqqa).
Au Yémen, l‘Amérique continue à soutenir ces actes criminels avec peu d’opposition du Congrès, des médias ou de l’opinion publique.
Lorsque le traitement du choléra n’est pas disponible ou impossible, cette maladie peut être mortel en quelques jours.
Étant donné que la réhydratation du corps est essentiel pour le traitement du choléra, cette maladie est très efficacement déployé dans un pays comme le Yémen où les systèmes d’eau et d’égout ont été bombardés.
Maintenant, 124 pays sont États Parties de la Cour pénale internationale (CPI). Cette cour a compétence sur les crimes internationaux y compris les crimes d’agression, de génocide, les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre.
Les États-Unis ne font pas partie des États membres, après avoir signé le traité original et ont ensuite retiré leur signature. Soudan, Israël et la Russie ont également signé le traité original, puis se sont retirés.
Le Yémen a voté en 2007 pour ratifier le traité, puis a réélu pour rétracter la ratification. Il existe 41 autres pays, y compris l’Inde, le Pakistan, la Turquie et la Chine, qui ont rejeté le traité.