Le Maroc, la Tunisie, la Mauritanie et l’Algérie forment le Maghreb-Uni. Une région où tous les secteurs sont traités avec soins, que ce soit sur le plan économique, sociale, culturelle ou autres. Pour le 3è pays cité, cela fait un bon moment déjà, soit depuis les deux derniers mois, d’Octobre et Novembre qu’il est très convoité par ses voisins cités en haut.
Que ce soit sur le plan politique, commercial ou diplomatique, le Maroc, puis l’Algérie et la Tunisie, ces pays défilent à tours de rôle vers la capitaine mauritanienne, Nouakchott en l’occurrence. Les relations bilatérales en sont là pour dire que ces pays s’entraident entre eux. Des pays qui discutent souvent sur des affaires, signent des accords ou parlent sur la diplomatie qui les unit.
Soulignons également que l’inauguration de la première succursale de la banque maghrébine d’investissement et de commerce extérieur à Nouakchott, les pays voisins convoitent la Mauritanie, qui joue un grand rôle dans la région, sur le plan diplomatique, bien entendu. Il faut dire que la Mauritanie constituerait une zone tampon entre l’Afrique de l’Ouest et le Maghreb.
Avec l’Algérie et le Maroc qui sont des géants du Maghreb en matière d’économie, la Mauritanie voudrait entrer en course pour conquérir le marché africain. Ce serait de ce fait le premier objectif tracé par les responsables de ce dernier pas cité (Mauritanie) pour concrétiser ce qui pourrait l’être sur le terrain.
Galvaniser l’union sacrée du Maghreb Arabe, qui peine toujours à décoller face à l’urgence de régionalisation, reste aussi un objectif à moyen et long terme. Dans ce contexte précis, signalons que lors de la célébration du 43è anniversaire de la marche verte, coïncidant avec le 06 du mois de Novembre en cours, émergence du Maghreb a été le sujet prédominant, et où les observateurs voudraient voir les relations normales entre les pays de la même zone (Maghreb).