Faute d’arguments crédibles compatibles avec le Droit International dans le conflit du Sahara Occidental, la diplomatie marocaine ne dispose comme arme que la corruption, les pot-de-vin et le chantage.
Ses méthodes ont été largement dévoilées par les documents révélés par le cyber-activiste @Chris_coleman24.
Deux méthodes figurent dans l’approche adoptée par Rabat pour attirer le soutien du Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-moon : la contribution dans le financement des institutions onusiennes et l’envoi de militaires marocains dans les missions de paix de l’ONU.
Grâce à ces contribution, le Maroc a réussi à empêcher le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Droits de l’homme de proposer l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homme. Pire encore, le HCDH n’a de cesse vanté des prétendus progrès réalisés par Rabat dans ce domaine.
Des associations sahraouies des droits de l’homme ont boycotté à El Aaiun les réunions de la délégation du HCDH présidée par Anders Kompass à cause de la complicité de ce dernier avec les autorités marocaines.
Face à la fermeté de Ban Ki-moon dans le dossier du Sahara Occidental, le Maroc a décidé de retirer sa contribution financière destinée à la MINURSO.
Cependant à Genève, le Maroc, avec ces contributions, a réussi à acheter le silence du HCR et du HCDH
Contribution du Matoc au Fonds onusien de soutien de la paix et la sécurité au Mal
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