Samia Razougui est une journaliste marocaine installée aux Etats-Unis. Elle n’est pas comme le commun des marocains. En plus de sa beauté physique, elle brille par sa beauté d’esprit, sa conviction démocratique et sa lutte pour un monde plus juste, plus équitable.
Elle est différente des marocains parce que si la majorité des citoyens marocains sont bernés par les mensonges du Makhzen sur le conflit du Sahara Occidental, Samia connaît assez bien les origines du conflit, ses enjeux et ses réalités en tant que conflit créé par le Maroc pour servir les ambitions régionales de la France. D’où le soutien inconditionnel de celle-ci à la position marocaine.
Si la majorité des marocains voient dans la lutte du peuple sahraoui « l’ennemi algérien », Samia soutient à cœur le droit des sahraouis à décider librement de leur avenir.
C’est pour cette raison que Samia et son collègue Younes Belghazi se trouvent cette semaine sous les tentes sahraouies avec le reste des visiteurs venus participer au XI Festival de Cinéma du Sahara (FiSahara).
C’est une « occasion » pour elle de s’enquérir de près de la réalité du Sahara Occidental, a déclaré Samia depuis le camp de réfugiés de Dakhla dans le sud-ouest de l’Algérie, qui accueille ce festival international.
La journaliste marocaine a exprimé sa joie de se trouver parmi les jeunes sahraouis, ce qui lui a permis d’avoir une « image vivante » du conflit du Sahara Occidental.
Samia a rappelé que la question sahraouie n’est pas connue de la majorité des marocaine en raison de la propaganda mensongère que les medias marocains distillent dans le but de déformer la réalité.
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