Âpre bataille entre le Polisario et le Maroc – Pêche et droits de l'Homme

Le délégué du Front Polisario à Washington, Mohamed Yeslem Beissat a affirmé que l’année 2013 a été marquée par « une bataille âpre » entre le Front Polisario et le Maroc dans les fora internationaux sur les questions de la pêche et des violations marocaines des droits de l’Homme au Sahara occidental, a indiqué l’Agence de presse sahraouie (SPS). 
Le délégué du Front Polisario à Washington, Mohamed Yeslem Beissat a affirmé que l’année 2013 a été marquée par « une bataille âpre » entre le Front Polisario et le Maroc dans les fora internationaux sur les questions de la pêche et des violations marocaines des droits de l’Homme au Sahara occidental, a indiqué l’Agence de presse sahraouie (SPS).
Dans une déclaration à la presse, en marge de la conférence sur les relations extérieures, M. Beissat a affirmé que « l’année 2013 a été marquée par l’intérêt particulier accordé à la cause sahraouie dans les fora internationaux, notamment européens au cours desquels un grand différend au sein des institutions européennes a surgi au sujet de la pêche et des droits de l’Homme ».
Il a cité, à ce propos, les positions exprimées dans plusieurs pays, notamment aux Etats unis, au Japon et en UE, ainsi que dans le monde arabe et en Afrique. M. Beissat a souligné que le programme du ministère sahraoui des Affaires étrangères pour l’année 2014 sera axé sur « la dénonciation des crimes coloniaux marocains et du pillage des richesses naturelles sahraouies. La cause sahraouie dans ses volets juridiques, historiques, politiques sera présente en force dans le discours diplomatique sahraoui ».
D’autre part, le responsable sahraoui a indiqué que la conférence annuelle sur les relations extérieures a été tenue dans un contexte politique, national et international marqué par « un plaidoyer » pour les valeurs des droits de l’Homme et la démocratie.
Le diplomate sahraoui a mis l’accent sur l’importance de la conférence qui permet un échange de vues et une évaluation de l’année 2013, rappelant la mise en place d’une stratégie avec les autres institutions sahraouies pour définir les modalités de coordination et de coopération pour aboutir à une action unifiée avec l’adhésion de ces institutions sur le plan international.
La conférence dont les travaux ont pris fin dimanche a vu la présentation de rapports de plusieurs institutions, comme le ministère des territoires occupés et des communautés, l’association des familles des prisonniers et disparus sahraouis, l’union des défenseurs sahraouis des droits de l’Homme, le croissant rouge sahraoui, les ministères de la Coopération et de l’Information, ainsi que des membres au parlement panafricain et de l’Assemblée nationale sahraouie.
Dans une déclaration à la presse, en marge de la conférence sur les relations extérieures, M. Beissat a affirmé que « l’année 2013 a été marquée par l’intérêt particulier accordé à la cause sahraouie dans les fora internationaux, notamment européens au cours desquels un grand différend au sein des institutions européennes a surgi au sujet de la pêche et des droits de l’Homme ».
Il a cité, à ce propos, les positions exprimées dans plusieurs pays, notamment aux Etats unis, au Japon et en UE, ainsi que dans le monde arabe et en Afrique. M. Beissat a souligné que le programme du ministère sahraoui des Affaires étrangères pour l’année 2014 sera axé sur « la dénonciation des crimes coloniaux marocains et du pillage des richesses naturelles sahraouies. La cause sahraouie dans ses volets juridiques, historiques, politiques sera présente en force dans le discours diplomatique sahraoui ».
D’autre part, le responsable sahraoui a indiqué que la conférence annuelle sur les relations extérieures a été tenue dans un contexte politique, national et international marqué par « un plaidoyer » pour les valeurs des droits de l’Homme et la démocratie.
Le diplomate sahraoui a mis l’accent sur l’importance de la conférence qui permet un échange de vues et une évaluation de l’année 2013, rappelant la mise en place d’une stratégie avec les autres institutions sahraouies pour définir les modalités de coordination et de coopération pour aboutir à une action unifiée avec l’adhésion de ces institutions sur le plan international.
La conférence dont les travaux ont pris fin dimanche a vu la présentation de rapports de plusieurs institutions, comme le ministère des territoires occupés et des communautés, l’association des familles des prisonniers et disparus sahraouis, l’union des défenseurs sahraouis des droits de l’Homme, le croissant rouge sahraoui, les ministères de la Coopération et de l’Information, ainsi que des membres au parlement panafricain et de l’Assemblée nationale sahraouie.

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