Monia Bousalmi, porte-parole de la commission nationale tunisienne de soutien au peuple sahraoui, a dénoncé lors d’une rencontre, ayant regroupé les activistes de la société civile en Algérie, ce qui a considéré les violations des droits de l’homme commises par le Maroc au Sahara Occidental, dont les harcèlements dont ont été victimes les militants politiques dans cette région.
Monia Bousalmi a appelé la nécessité de faire la lumière sur les problèmes du Maghreb, notamment la cause du Sahara Occidental qui doit être réglée selon les résolutions de la légitimité internationale.
De son côté, le président de la municipalité de Boumhel, Taher Belhaj Yahia a indiqué que le droit du Peuple Sahraoui à disposer de lui-même est sacré en estimant que la stabilité ne peut être instaurée dans la région sans l’indépendance du Sahara occidental.
Il a ajouté que la solidarité du peuple tunisien avec son homologue sahraoui ne date pas d’hier mais depuis les années 1970 mais la censure que l’ancien régime tunisien a pratiqué ces dernières décennies a empêché le peuple tunisien d’exprimer cette solidarité.