Plusieurs personnes réclamaient à Fnideq dans le nord du Maroc des alternatives économiques face au chômage qui frappe de plein fouet cette ville. Ils étaient plusieurs, un millier selon les organisateurs à exiger l’ouverture de
Fnideq (Maroc) (AFP) Marchand ambulant à Fnideq (Castillejos), dans le nord du Maroc, Badr est tellement désemparé qu’il pense au pire, voire au suicide, depuis l’interdiction de la contrebande et la fermeture des frontières avec
Les Marocains d’une ville bordant une enclave espagnole font face à un avenir sombre après une répression de la contrebande et une fermeture de la frontière en raison des craintes de coronavirus qui ont détruit
Dans cet article, nous essayons d’analyser comment des villes comme Fnideq, Tétouan ou M’diq sont parvenues à la situation et pourquoi leurs habitants en ont assez d’attendre des promesses économiques alternatives qui ne viennent jamais
Ce qui s’est passé ce week-end dernier à Castillejos, à quelques kilomètres de notre ville, mais à des années-lumière d’une ville européenne, ne peut être compris sans les conditions pandémiques actuelles, où des sujets marocains