La Fondation Merck avec La Première Dame du Burundi publie « Plus Qu’une Mère », une chanson d’autonomisation en Français, par courtoisie à toutes les femmes infertiles du Burundi et de l’Afrique

La Fondation Merck poursuit son engagement en faveur de la sensibilisation sur l’infertilité

BUJUMBURA, Burundi, 18 juin 2019/ — la Fondation Merck (Merck-Foundation.com), la branche philanthropique de Merck KGaA Allemagne, en collaboration avec La Première Dame du Burundi et sa fondation, la Fondation Buntu, a publié une chanson d’autonomisation, une chanson thématique de la campagne « Merck Plus Qu’une Mère », à titre gracieux à toutes les femmes infertiles du Burundi et de l’Afrique. « L’objectif de la chanson est de briser la stigmatisation liée à l’infertilité en Afrique et dans le reste du monde dans le cadre de la campagne de sensibilisation communautaire de ‘Merck Plus Qu’une Mère’ », a déclaré le Dr. Rasha Kelej CEO of Merck Foundation and President of Merck more than a Mother.

La chanson a été composée par les gagnants de « Merck More than a Mother Song Award », un groupe très talentueux du Burundi

Dr. Rasha Kelej souligne : « Je remercie ma sœur S.E. MADAME DENISE NKURUNZIZA, La Première Dame du Burundi et Ambassadrice de Merck Plus Qu’une Mère pour sa créativité. Cette belle chanson en français « Plus Qu’une Mère » transmet un message important à la société selon lequel les femmes sont plus que des mères, elles sont des membres utiles et productifs de la société, qu’elles aient des enfants ou non. Elle parle également de la stigmatisation autour de l’infertilité, donne un message important selon lequel la fertilité est une responsabilité partagée et que les hommes devraient soutenir leurs femmes tout au long de leur traitement. Cela me rend très heureuse de découvrir de jeunes talents africains et de travailler en étroite collaboration avec eux pour créer un important changement de culture dans nos sociétés ».

S.E. MADAME DENISE NKURUNZIZA, La Première Dame du Burundi, Présidente de la Fondation Buntu et Ambassadrice de Merck Plus Qu’une Mère, a souligné : « L’objectif de cette chanson est l’autonomisation des femmes infertiles au Burundi et de faire comprendre à toute la communauté africaine que l’infertilité n’est pas un stigma. C’est notre contribution à ‘Merck Plus Qu’une Mère’, une campagne importante de la Fondation Merck »

« La chanson aborde la stigmatisation liée à l’infertilité dans le but de sensibiliser la communauté sur l’infertilité masculine et de sensibiliser la communauté au fait que les hommes aussi (#MenToo) peut souffrir de l’infertilité, pas seulement les femmes, et appelle chaque mari à partager le parcours du traitement de l’infertilité avec son épouse », a ajouté le Dr. Rasha Kelej.

Le groupe a été sélectionné lors d’un concours spécial organisé entre dix groupes de chorales locales du Burundi lors du lancement de la Fondation Merck au Burundi en Mars 2019.

La Fondation Merck a œuvré à tous les niveaux pour introduire un changement de culture dans la société africaine et a plaidé en faveur des femmes qui ne peuvent pas avoir d’enfants contre la discrimination, l’isolement et la violence.

Outre cette chanson, la Fondation Merck a lancé 14 chansons locales avec des chanteurs célèbres du Ghana, du Rwanda, du Kenya, de Sierra Leone et de Gambie afin de sensibiliser le public sur l’infertilité masculine et de briser la stigmatisation autour des femmes infertiles en Afrique, comme Tom Close, du Rwanda, « Life is bigger » et Sunita de Gambie pour « More than a Mother ». De plus, S.E. La Première Dame du Burundi a composé trois chansons en Français, Anglais et Kirundi.

La Fondation Merck a travaillé en étroite collaboration avec des chanteurs locaux en Zambie pour créer des chansons abordant le même problème afin de sensibiliser la communauté dans le but de mettre fin à la stigmatisation liée à l’infertilité et d’autonomiser les femmes infertiles. Un autre projet en préparation est la chanson panafricaine avec six chanteurs de six pays d’Afrique de l’Ouest et de l’Est.

La Fondation Merck prévoit de publier prochainement ces chansons sur toutes les télévisions et radios africaines.

« L’art a la capacité et l’influence nécessaires pour faire ressentir le problème, ce qui stimule davantage les émotions et conduit à l’engagement et à l’action. Nous avons donc utilisé ce support pour aborder le problème de l’infertilité et de la stigmatisation qui y est associée. Personnellement, je pense que cette chanson ajoutera une valeur significative pour apporter le changement de culture que nous préconisons au Burundi et dans le reste de l’Afrique » a conclu le Dr. Rasha Kelej.

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